DISTRIBUTION
Mise en scène
Juliette Navis
Interprète
Douglas Grauwels
Dramaturgie
Nils Haarmann
Chorégraphie sportive
Elik Niv
Lumière et scénographie
Arnaud Troalic
Ecriture plateau
Juliette Navis et Douglas Grauwels
librement inspiré d'Au coeur de la Monnaie de Bernard Lietaer
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Pour avoir un impact efficace sur une situation multi-problématique, il faut trouver le cœur de cette situation ; le problème qui engendre tous les autres.
Selon J.C., le responsable des catastrophes écologiques, économiques et sociales qui assaillent notre époque est «la monoculture monétaire ». Or nous sommes incapable de changer le modèle économique dans lequel nous vivons. Nous sommes figés dedans, pensant qu’il est la norme. Pourquoi ?
Pour répondre à cette question J.C. va entreprendre un voyage dans l’inconscient collectif. Il y retrouve les traces du patriarcat et comprend comment sa domination s’est appuyée sur l’oppression du féminin. Pour lui, si nous ne remettons pas le féminin à la gloire, nous ne pourrons pas équilibrer notre désir d’expansion. Il nous faut retrouver un équilibre que nous avons perdu il y a fort longtemps, lorsque nous avons enfoui la Déesse Mère au fin fond de notre inconscient collectif, dans des abysses si lointains que nous en avons oublié son existence. Il faut aller la chercher et la remonter à la surface.
Au cours du spectacle, J.C. rencontre une porte dans l’espace, annule son repas de mercredi avec sa mère, entraine ses muscles, répète une scène de film, tourne une course poursuite contre Jésus, devient Karl Gustave Jung le temps d’une remise au point. Entre fiction et réalité, nous ne savons plus si celui qui nous parle nous raconte sa pensée ou le scénario de son prochain film d’action.
PRODUCTION REGEN MENSEN
COPRODUCTION Le Petit Bureau, Théâtre de Vanves - Scène conventionnée, ooorwd ASBL, Théâtre de Lorient - centre dramatique national, Théâtre de Liège
SOUTIENS La commission Communautaire Française, le CENT- QUATRE Paris, Compagnie Akté, Le Carreau du Temple - Paris, Théâtre Paris Villette, le J.T.N., Le Théâtre de Liège
"Tes origines, tu marches dessus ! Tu crois que ta mère c’est tout...
Mais y’a pas que ta mère. Y’a ta mère, et la mère de ta mère, la mère de la mère de ta mère...
et tout au bout, y a la Terre Mère."